La magie des notes de musique, la voix de Louis Armstrong, imposante et savoureuse, l’évocation de la plus grande tragédie de l’humanité ont opéré en lui une métamorphose plurielle.
La voix rocailleuse de John Lee Hooker monte des confins des mouroirs pour nègres qui firent jadis la fortune du Sud profond des États-Unis.
Ah, Sonny Boy Williamson ! Quel souffle prodigieux dans ce petit corps d’ébène ! Son harmonica pousse sa longue, très longue complainte ; tantôt craintive, douce, caressante, veloutée ; tantôt capricieuse, chevrotante, nerveuse, survoltée. Et qui s’échappe par étirements successifs comme un envol d’aigles royaux.
Camara Nangala, auteur ivoirien, écrit pour dénoncer et pour mettre en garde contre d’éventuels maux et fléaux de la société ; il écrit pour éveiller les consciences, pour éduquer. « Le printemps de la liberté » est un roman destiné aux amoureux de l’Afrique, à celles et ceux qui veulent plonger dans les pistes rouges de latérite, qui veulent voyager en dehors des sentiers battus de l’Afrique noire. Un livre pour les passionné(e)s du Jazz, du Blues et de l’Afrique.
Venez découvrir les racines musicales de Pessa et Wonouplet dans « Le printemps de la liberté »