Les lieux sont impressionnants et les mots me manquent.
Il y a ces forêts, escarpées, qui semblent impénétrables et qui seraient presque effrayantes si la civilisation moderne n’était pas si proche.
Il y a ce terrain, aux formes improbables, aux falaises surplombantes, où la platitude succède brutalement à la verticalité.
Enfin, il y a ce couvent de la Grande Chartreuse, installé là depuis 1084, dédié au recueillement, à la contemplation, à l’ascèse. Je ne peux m’empêcher de penser aux premiers qui vinrent en ces lieux pour s’y installer, loins de tout, dans une nature des plus sauvages. Tout celà à 30 kms de Grenoble. Un contraste saisissant.
je voulais être bergère
J’espère que tu n’aurais pas garder de mouton sauvage