C’est bien l’ambigüité de ce livre, née de ce titre en français. Quand on ne l’a pas encore ouvert, on s’attend à quelque chose de très sérieux, de très psychologique. Et puis au fil de la lecture, on s’abandonne à un double sentiment, entre noirceur cinglante et humour.
Je trouve que cette ambigüité se retrouve également sur la couverture de l’édition que tu proposes : d’un coté cette photo en Noir et Blanc qui accentue un coté sombre, triste, lié au « killer », de l’autre la posture de la nana pour le coté sentimental qui me fait penser à une photo tirée d’un bon roman-photo de gare ou d’un soap-opéra sud-américain...