c’est le livre de la boîte à gants de ma voiture dès que je dois poireauter, j’en lis un bout, puis je me rends à l’objet de mon attente les yeux très souvent embués, la boule au ventre, blindée au relativisme. Alors, sensible que je suis j’ai pensé à laisser tomber, trop triste, sombre, désespérant (je n’en suis pas encore à la fin) mais non, j’ai continué et je persévère mais les mains devant les yeux comme au ciné qd j’ai peur.