Je n’ai pas lu ce titre de Chi Li, mais en lisant ton article, je me demande si tu n’as fait pas la réponse à ta question sur le titre :
... la lune affiche ostensiblement sa lumière pale, tout devient souffrance, haine et cruauté, jusqu’à la fin...
Elle s’affiche lors d’une trouée dans les nuages ?
C’est vraiment une idée en te lisant, j’sais pas ...
[...] j’sais pas ...
Moi non plus, j’sais toujours pas...
Peut-être que si tu le lisais, tu en sauras plus que moi ?
Et puis après « Pour qui te prends-tu ? », « Tu es une rivière » et « Préméditation », tu ne peux t’arrêter en si bon chemin...
La vie est triste, mais la lecture est belle. Un autre regard sur la Chine, mais aussi sur la communication du couple, les rapports familiaux, les nouvelles valeurs de ce monde moderne après la dégradation des idéaux communistes...