OUFFFFFFFF ! J’ai enfin trouvé ce livre après avoir parcouru toutes les librairies à ma disposition, j’ai fini par dégoter l’exemplaire qui restait à la FNAC de la grande ville ! Je retourne de suite sur ma montagne pour le lire. Merci black
aie...aie...aie...
Cela me fait peur...
Quelqu’un qui a pris la peine d’acheter un livre (même à la F..C) d’après simplement une petite chronique que j’ai pu faire...
Et si je m’étais trompé, et si j’avais fait cette chronique trop à la légère, que je n’avais pas tout compris et que ce que j’ai pu ou su retenir du livre ne reflète pas la réalité du roman...
Je sens que je ne vais plus en dormir...
Vite, il me faut oublier ce message. Je vais de ce pas m’assoir face à mon mur pour une séance de zazen et tant pis si mon chef rentre dans le bureau...
Bon Black tu peux retourner devant ton mur ;)
Mais je ne l’ai pas lu « à cause » de toi déjà !
tu peux quitter ton mur (tu y es resté depuis deux ans ? qu’en pense Blue ? pas du mur ... du bouquin).
Si nos chemins s’étaient croisés plus tôt... j’aurai pu donner le livre à Blue, je suis restée sur ma faim. Quelque chose m’a tiqué tout le long de ce court livre, l’impression que le père pousse quand même son fils à continuer mais c’est un regard ancien et flou. Sinon oui, le changement d’identité, l’éloignement pire le détachement du fils, comme tu le dis bien « un livre comme un koan zen. » Et cela fait réfléchir sur la parenté ( ?) et même si je n’ai jamais réussi à devenir père (je sais, je suis décevante !).