Moi qui me faisait une joie intense de voir le maître en vrai ! Moi qui écoutait les vinyls puis les CD des concerts magiques lorsque les vicissitudes de la vie me pesaient, trouvant l’harmonie du monde dans les accords profonds des improvisations !
Ce mercredi là, à cause d’une acoustique vraiment trop acoustique ( j’entendais même respirer mes voisins, certains s’endormaient peut être, c’est vrai ; bande d’ignares !), le rêve éveillé s’est brisé sur un éclat de toux de trop. Le maître à jouer jouait avec nos nerfs ; allait il revenir et remplir son contrat ? C’était trop tard de toute façon, nous appréhendions la quinte fatale, nous étions prévenus ...